Etats élargis de conscience

A la source des notions d’états élargis de conscience, il y a une conception du monde à laquelle on adhère ou non, qui est : « nous ne sommes pas un être physique qui faisons l’expérience de la spiritualité, nous sommes un être spirituel qui faisons l’expérience du monde physique/matériel ».

 

Quand certains pensent que la conscience habite notre corps, cette conception du monde suppose que c’est notre conscience qui héberge et donne vie à notre corps. Ainsi ce que l’on nomme conscience pourrait-être remplacé par les mots : âme, énergie, amour et pourquoi pas dieu…

 

On aime également l’idée que notre conscience soit cette entité qui débat avec l’ange et le diable, avec l’ombre et la lumière, avec ces petites voix intérieurs qui nous tirent dans des directions différentes, voire opposées. En fait, nous observons aisément qu’à partir de la notion de conscience, il existe de nombreux concepts plus ou moins religieux, philosophiques, psychologiques, spirituels et même scientifiques, chacun y allant de sa culture, de sa croyance, de ses traditions…

 

C’est précisément là qu’intervient notre faculté à dépasser l’ordre établi pour être curieux, ouvert, pragmatique, sensible, afin de s’interroger sur l’existant, d’aller à la découverte de l’invisible, de l’inexpliqué et de choisir en son âme et conscience quoi croire, voir, vivre…

 

Les neurosciences ont déjà pu établir que le cerveau humain était enclin à voir ce en quoi il croit, ainsi pouvons-nous supposer que les personnes qui vivent des phénomènes « paranormaux, inexpliqués, extraordinaires, surnaturels » sont plus enclin à y croire, pour les vivre ? Et de fait, pouvons-nous supposer que les personnes sceptiques, fermées, sans dimension spirituelle, seraient susceptibles de ne pas faire ces expériences ? Ce qui est sur, c’est que même sans y croire de nombreuses expériences incroyables ont été relatées dans l’histoire de l’humanité depuis la nuit des temps. Même sans explication dites « rationnelles » comment nier leur existence et comment ne pas s’interroger ? C’est pourquoi à partir de faits réels, ayant des points communs, décris par différentes personnes, à différentes époques, en différents, que dit notre bon sens ?

 

La vidéo ci-dessous s’adresse aux sceptiques, qui malgré l’histoire et l’expérience arrivent à nier ces phénomènes, et à ne pas croire… Pourquoi, comment ? si les mécanismes de dénis sont principalement psychiques, la croyance est une question de foi, de confiance, d’intuition et cela demande certainement une forme de courage pour croire en l’invisible.

 

 

Je vous soumets également l’article de la théorie des champs unifiés de Nassim Haramein, où il fait le lien entre la physique classique et quantique. Question qui préoccupe les scientifiques depuis très longtemps, et dont la réponse semblent niée depuis sa découverte, il y a quelques années.

 

Pourquoi cette théorie a du sens ici, parce qu’elle répond scientifiquement au concept spirituel « nous sommes un et tout » et que ce concept est intimement lié à la notion de conscience en tant qu’énergie créatrice. Je dis très souvent que ce n’est pas parce qu’on ne sait pas expliquer quelque chose aujourd’hui qu’on ne saura pas le faire demain, une façon de faire redescendre les pseudos rationnels de leur nuage, qui arrivent à mettre en doute l’expérience, par absence d’explications, comme si nier les faits était un signe de rationalité ou de bon sens. Nassim Haramein est vraiment l’exemple d’un scientifique curieux et intuitif qui a su aller à contre courant de l’ordre établi pour suivre son idée, et grâce à sa persévérance et son courage, il a réussi non seulement à répondre à son propre questionnement, mais à prouver à tous ceux qui le raillaient qu’il était sur la bonne voie.

 

Même si le sujet peut faire peur, je trouve la vidéo (sur le lien ci-dessous) de Nassim Haramein plutôt pédagogique, explicite et accessible au moins scientifique d’entre nous, pour peu que l’on soit ouvert et curieux !

 

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